Algérie - Argent publique
Evaluations des politiques publiques
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Quel budget ?
Quelle qualité ?
Quel contrôle ?
Quelle transparence ?
L’inscription dans la nouvelle Constitution de l’Algérie de mesures assurant l’indépendance de l’appareil judiciaire soumise à l’épreuve des faits attend son application;
Corruption des agents publics, les services d’état civil livrés à la gabegie;
Recul dans le recouvrement des impôts et des prêts aux entreprises;
Hausse des dépenses;
Distribution anarchique des subventions aux associations;
Absence de contrôle et de régulation du marché de la construction;
Dilapidation du foncier agricole, détournement de terres agricoles;
L’éducation nationale discréditée après des fraudes massives aux épreuves du bac;
Les universités souffrent d’une pénurie persistante d’enseignants;
Les cadres des entreprises publiques priés de se recycler;
Les fonctionnaires algériens seront formés au Canada;
Insécurité et insalubrité dans la ville nouvelle d’Ali Mendjeli;
Des responsables en charge de l’urbanisme, du logement et des équipements limogés pour insuffisance de résultats et manque de compétences;
1 million d’agents en sureffectif dans la fonction publique, des coupes dans l’administration prévues depuis la chute des prix des hydrocarbures, principale source de recettes pour l'Algérie;
Les deux tiers des communes algériennes vivant des subventions de l’État, sous tutelle des préfets et des sous-préfets sont restés pauvres;
Un nouvel "observatoire" du service public, en projet, aura comme président le ministre de l’Intérieur ou bien l’un de ses représentants.
Sera -t-il objectif ?
A suivre
Algériennes, Algériens du Monde, à nous de dire dans quelle Algérie nous voulons vivre, à nous de choisir, à nous d’agir ! Vive l'Algérie ! Vive Ali Benflis ! Gloire à Nos Martyrs ! Club des Benflissistes
